Cure-Pipe et Dogo Suicide
21 h
Cure-Pipe, c’est avant tout le projet de l’auteur-compositeur-interprète originaire de Jonquière-Nord Thomas Dakin Perron, qui, depuis 2017, travaille activement à trouver un son qui lui est propre, tout en s’entourant de collaborateurs de talent pour créer une expérience musicale totalement éclatée et prenante. Ainsi, rock psychédélique et garage pop se mêlent aisément au rock classique et à l’hyperpop pour créer une recette surprenante, un peu crasseuse, mais surtout, totalement vraie. Thomas ne fait pas dans la demi-mesure. Avec Cure-Pipe, il se livre entièrement, sans compromis. Il y a de ces artistes qui nous obligent à s’arrêter et à prendre le temps d’écouter. Thomas est de ceux-là.
Dogo Suicide
La désinvolture et le chaos constituent les pierres d’assise du jeune trio originaire du centre-ville de Québec. Autoproclamée « post-toute, mais assez punk dans l’ensemble », la musique de Dogo Suicide peut rappeler celle de groupes tels que Oktoplut, Lysistrata et At-The Drive In. Après une session live présentée dans une pizzeria devant un public plus ou moins averti, deux mini-albums et des représentations dans de nombreuses villes québécoises et en Ontario, la formation prépare son premier album et continue d’enchaîner les spectacles.
Si le groupe s’est rapidement fait remarquer pour ses prestations scéniques déchainées lors desquelles le mot «compromis» reste au vestiaire, il ne recule cependant jamais devant une occasion de ralentir le métronome et de présenter des sections calmes et sincèrement mélancoliques. Inspirés par l’ambiance des tavernes malfamées de la basse-ville de Québec, dont ils ne peuvent se passer, les membres de Dogo Suicide dépeignent l’absurdité et les paradoxes du monde qui les entoure en agençant des textes irrévérencieux, loufoques et parfois tendres à leur musique fortement influencée par le noise des années 90.
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