Vernissage : 3 juillet, 17 h à 19 h
Exposition jusqu’au 6 juillet
La pratique artistique de Mégann Nolet-Desrosiers s’articule autour d’une question centrale : comment l’horreur peut-elle devenir un vecteur d’empathie? Par la sculpture, l’installation, la peinture et le dessin, elle explore les codes visuels et sensoriels du genre horrifique — empruntés au cinéma et à la littérature — pour questionner la fragilité de la condition humaine. La peur, le malaise et l’étrangeté sont mis en scène non pour choquer, mais pour éveiller une forme de compassion face à l’œuvre.